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Le vernissage aura lieu vendredi 8 septembre à 18h et l’exposition de Moira commence dimanche 10 septembre.

Virginie Pospisil Puente, agent d’artiste et critique d’art présente la céramiste Moira Frossard-Riley née à Bristol, UK.

De 1994 à 1996, Moira fait des études d’artisanat, design et d’art en céramique au Collège Technique de Kings Lynn, Norfolk, UK et effectue
des stages de céramiques dans tout le Royaume-Uni. Membre actif de l’East Anglian Potters Association, elle expose dans de nombreuses galeries au Royaume-Uni.

Elle quitte l’Angleterre en 2006 avec son mari et s’établit en France à Caunes-Minervois en 2015 où elle crée son atelier.

Le grès est sa matière de prédilection. Elle a une attirance pour la technique de la plaque, l’enroulement, le pincement. Elle décore ses pièces avec des textures inspirées de la nature. Les couleurs sont celles de la mer et de la forêt.

L’exposition de Anne et Claudie commence dimanche 27 août, et le vernissage aura lieu vendredi à 18h (la salle d’exposition est fraiche !).

Corps étranges et familiers
Que se passe- t-il sous cette écorce ?
Dessus, dessous, dedans…
Il y a ce que l’on voit, ou pas !
Des tâches, des trous, des bosses…
des trous
des tâches
des tâches et quoi encore ?  est-ce tout ?

Puissante et stupéfiante vie végétale. De ses formes rien ne nous est caché. Dès les premiers regards il nous est possible d’en voir tous les détails , pourtant notre œil est dans le temps bien inutile pour en saisir le mouvement. La vie est dans l’arbre si puissante qu’elle tord, tourne, pousse, creuse, coule, enfle en son tronc, tel un corps curieusement fixe et malléable à la fois .
L’image offerte n’est qu’une partie de sa réalité, laquelle n’est perceptible que par l’émotion qu’elle nous souffle au cœur, très, très, très, lentement.
L’aptitude à basculer le regard de l’apparence physique à l’intériorité.

Il y a ce que l’on voit, ou pas !
Il y  a ce que l’on ne voit pas !

      Anne Vergnes trouve son inspiration auprès des arbres qui ombragent notre nature Audoise. Sur les petites routes, les allées de domaines viticoles et les places de village, les grands arbres que sont les platanes, lui offrent au quatre saisons sa palette d’expressions.
Posés sur la toile réalisme et abstraction se mêlent .

Claudie Anton vous propose le miroir de sa personnalité.
Sur deux mesures :
Les collages avec ses huit pièces de « Broc-Art » série inspirée de l’Orient amenant le réel vers l’abstraction.
Et ses « Belles endormies » révélant l’expression de la continuité d’un travail engagé, il y a quelques années formalisant l’abstraction.